Aujourd'hui, dans un monde ultra libéral, l'économie est contrôlée par des actionnaires et autres personnes des hautes sphères du business.
Souvent, les sommes que ces actionnaires touchent servent bien peu et représente une source d'inégalité croissante.
Cependant, on a appris récemment que la France, par le jeu des dividendes, prétend attendre beaucoup des entreprises et des actionnaires. Pourquoi pas s'en occuper lui-même?
Faire de l'État un actionnaire éthique, mais pas limité
L'État est actionnaire aujourd'hui de grands groupes comme EDF et GDF Suez, mais il n'a pas beaucoup de parts du marché. Il n'agit pas vraiment comme un actionnaire privé.
Cependant, l'État a les moyens, s'il se plie un peu plus aux règles du marché, par son réseau étendu et ses divers nombreux autres avantages (fiscaux) de concurrencer les actionnaires privés.
En rachetant des parts de marchés d'un peu partout, ill pourrait ainsi accompagner ses possessions vers un changement éthique. Par exemple il pourrait accompagner une banque privée vers des offres plus intéressantes pour les projets d'utilité nationale. Une sorte d'investissement à long terme en quelques sorte.
Il pourrait également utilisé l'argent gagné pour financer ses projets de dépenses. Aujourd'hui, des actionnaires gagnent des milliards dans la seule optique de s'acheter des yatchs! De l'argent gaspillé.
Souvent, les sommes que ces actionnaires touchent servent bien peu et représente une source d'inégalité croissante.
Cependant, on a appris récemment que la France, par le jeu des dividendes, prétend attendre beaucoup des entreprises et des actionnaires. Pourquoi pas s'en occuper lui-même?
Faire de l'État un actionnaire éthique, mais pas limité
L'État est actionnaire aujourd'hui de grands groupes comme EDF et GDF Suez, mais il n'a pas beaucoup de parts du marché. Il n'agit pas vraiment comme un actionnaire privé.
Cependant, l'État a les moyens, s'il se plie un peu plus aux règles du marché, par son réseau étendu et ses divers nombreux autres avantages (fiscaux) de concurrencer les actionnaires privés.
En rachetant des parts de marchés d'un peu partout, ill pourrait ainsi accompagner ses possessions vers un changement éthique. Par exemple il pourrait accompagner une banque privée vers des offres plus intéressantes pour les projets d'utilité nationale. Une sorte d'investissement à long terme en quelques sorte.
Il pourrait également utilisé l'argent gagné pour financer ses projets de dépenses. Aujourd'hui, des actionnaires gagnent des milliards dans la seule optique de s'acheter des yatchs! De l'argent gaspillé.